L’expression « droits de l’enfant » regroupe l’ensemble des droits fondamentaux établis par les Nations Unies et destinés à protéger les enfants. Cependant, au Liban, ces droits ne sont pas tous respectés. Ainsi, nous analyserons quelques causes et conséquences et nous trouverons des solutions au sujet de deux droits non appliqués.
L’hospitalisation
Un grand nombre de jeunes tombent malade et leurs parents ne les hospitalisent pas à cause de leur pauvreté. Il s’agit souvent de jeunes issus de familles de réfugiés palestiniens ou syriens.
En outre, beaucoup de libanais sont au chômage, ce qui les empêche de payer des frais importants des médecins et des soins hospitaliers.
Enfin, les hôpitaux de l’état libanais ne sont pas expérimentés comme les hôpitaux privés.
Par conséquent, de nombreux enfants se voient privés des soins sanitaires et hospitaliers.
Alors, pour ne pas arriver à cette phase effrayante, les médecins des hôpitaux libanais doivent renforcer leurs ressources et leurs connaissances. De même, le peuple doit diminuer le racisme et doit agir avec plus d’humanité.
L’éducation
L’état n’accorde pas beaucoup d’importance ou de ressources aux écoles qu’il a construites. En effet, environ 7% de son budget total est consacré à l’éducation même si les recommandations internationales préconisent 20% du budget national à l’éducation.
Ceci aboutira à un mauvais niveau d’éducation à cause de professeurs non qualifiés et un manque de matériel dans les écoles.
Pour ne pas avoir des jeunes non-éduqués, le gouvernement doit respecter les recommandations internationales. De même, il doit aider les familles pauvres en accordant des bourses scolaires et universitaires.
Finalement, nous concluons que deux droits au moins - l’hospitalisation et l’éducation - ne sont pas respectés à cause de la pauvreté et de l’état. Une prise de conscience est nécessaire pour remédier à cette situation.